"La grandeur et le développement moral d'une nation peuvent se mesurer à la manière dont elle traite ses animaux » GANDHI
L’homéopathie
Toujours désireux de se former, afin d’apporter les meilleurs soins à vos chouchous, les membres de notre équipe ont suivi une formation en homéopathie. Choix en accord avec vos demandes de plus en plus nombreuses pour une alternative de soins à des traitements classiques, sans effets secondaires ou négatifs.
Lucille Devlaminck, notre consultante en médecine chinoise et communication animale prescrit déjà depuis des années des produits naturels tel que la propolis par exemple. Cette formation pour le reste de l’équipe était pour nous une suite logique de l’évolution de notre cabinet. L’équipe s’y met doucement et avec plaisir.
Celle-ci a permit à nos ASV de mieux connaître tous les bienfaits de l’homéopathie et de pouvoir vous proposer une large gamme de produits.
Comme pour l’homme, chez nos amis à 4 pattes, les traitements homéopathiques peuvent être prescrits pour des nombreuses affections : respiratoires, digestives, articulaires, le stress, l’anxiété…
N’oubliez pas que la santé de votre animal est importante et qu’un avis vétérinaire reste indispensable.
La gingivite féline
La gingivite féline est une inflammation des gencives.
Elle peut avoir plusieurs causes : tartre, infection par différents virus, dents abîmées…
C’est pourquoi il faut rester vigilant et contacter son vétérinaire en cas de doute. Car si la gingivite se soigne facilement et est plutôt bénigne, elle peut également être le révélateur de maladies plus graves. Même bénigne, non soignée, elle peut avoir des conséquences désastreuses sur le bien-être de votre chat.
Des gencives rouges et gonflées sont les premiers symptômes de la gingivite. Ils en entraînent d’autres, cette affection étant douloureuse pour le chat: Des difficultés pour manger, une perte d’appétit, une mauvaise haleine, un arrêt du comportement de léchage À terme, la rétractation de la gencive peut provoquer un déchaussement des dents et une porte d’entrée pour les bactéries.
Quels sont les chats les plus exposés ?
N’importe quel chat est susceptible de développer des maladies de la cavité buccale. Toutefois, certains sont plus exposés que d’autres: les animaux âgés, les immunodéficients (comme ceux contaminés par le virus du FIV ou du FeLV) et les porteurs du calicivirus.
Comment les protéger ?
On le sait, le brossage des dents étant très compliqué chez le chat, il est naturel que la plaque dentaire puis le tartre se déposent au cours des années. Certains aliments par leur effet mécanique peuvent ralentir ce dépôt (les croquettes Hill’s t/d, les lamelles à mâcher …) La vaccination est primordiale pour éviter toute contamination par le calicivirus ou le FeLV. Malheureusement, il n’existe toujours pas de vaccination contre le FIV.
Comment les traiter ?
Votre vétérinaire, après une consultation, pourra vous prescrire des antibiotiques et/ ou des anti inflammatoires, parfois des traitements de fond. Dans certains cas, une extraction totale des dents sera malheureusement la seule option pour soulager l’animal.
Pour résumer : Vérifier régulièrement la bouche de nos chouchous n’est pas une perte de temps. On vérifiera qu’il n’y a pas de tartre ni de liseré rouge au niveau de la gencive. <br>La prévention reste la meilleure solution : on fait vacciner contre le FIV et FELV surtout si notre compagnon sort. Faute de pouvoir brosser les dents de Félix, on lui donne une alimentation adaptée qui luttera contre la plaque dentaire.
Réforme sur la puce électronique
Le mardi 28 janvier 2020, le ministère de l’Agriculture a présenté plusieurs mesures visant à améliorer la protection des animaux de compagnie et notamment des chats.
135€ d’amende si votre chat n’est pas identifié, la mesure existe déjà pour les chiens et a été étendu aux chats ce mardi 28 janvier 2020. Une réforme qui servira à lutter contre les abandons puisque le ministre de l’agriculture et de l’alimentation Didier Guillaume explique que cette « identification est obligatoire depuis 2012 mais d’après les chiffres de 2018 du ministère près de 7 millions de félins soit un sur deux n’est pas identifié. »
Toujours d’après le ministre une identification obligatoire permettrait de réduire les abandons : « Si un chat est identifié et marqué, on va le retrouver, on va retrouver son propriétaire, qu’on pourra sanctionner pour lutter contre l’abandon. » L’abandon classé comme acte de cruauté est puni de 30.000 € d’amende et 2 ans de prison.
Le deuil animal
Perdre un animal, c'est tout un travail de deuil à faire...
Le deuil animal, contrairement à ce que certains pensent est une réalité. Nous passons des années avec nos petits compagnons et un jour, ils s’en vont…
Perdre un animal, c’est perdre un membre de sa famille, alors il est bien normal d’être triste et au-delà de la tristesse, il y a un vrai travail de deuil à accomplir.
Quelques conseils clefs pour vivre votre deuil.
Tout d’abord il faut l’accepter : JE suis en deuil.
C’est une part importante du travail, car le deuil porté pour un animal n’est pas encore bien reconnu dans notre société et il est parfois très culpabilisant de voir que notre douleur n’est pas comprise. Parfois, le deuil s’entame avant le décès de notre compagnon, état de santé dégradé dû à l’âge ou à une maladie, on comprend dans ces moments-là qu’il va falloir se préparer et inconsciemment, avant même qu’il soit parti, nous entrons en deuil.
C’est le moment de se faire aider.
Comment ? En parler.
À qui ? Des amis bien intentionnés ou à votre vétérinaire qui sera un bon interlocuteur. Il ne vous jugera pas et pourra vous préparer au mieux, même si être préparé ne veut pas dire être prêt, l’est on jamais ? Si vous accompagnez votre chouchou jusqu’au bout et que vous prenez la décision, avec avis médical, de faire partir votre animal dans la dignité (nous parlons là d’euthanasie.) encore une fois notre conseil est de ne laisser aucune place à la culpabilité. En effet, l’idée d’être intervenu dans un processus entraînant la mort peut-être difficile à gérer. Pourtant, vous devez y voir là un acte d’amour et une opportunité d’arrêter la souffrance. Une question bien difficile est, dès lors, posée.
Il est toujours bon d’y être préparé, car la réponse n’est pas évidente pour tous. Que voulez-vous faire des cendres de votre compagnon ? Incinération individuelle : Celle-ci vous permet de récupérer une urne.
Cette démarche est très fréquente et aide certaines personnes, néanmoins pour d’autres cela rend les choses plus compliquées et l’incinération collective est peut-être la bonne alternative.
Une dernière option existe : l’enterrement, soit chez soi, pour les personnes propriétaires de leur terrain dont l’animal n’excède pas les 40 kilos soit, dans le cas contraire, dans un cimetière animalier.
Encore une fois, quelle que soit votre décision, c’est la vôtre et elle est donc bonne pour vous donc pas de jugement trop sévère envers vous-même. Après toutes ces épreuves, après avoir chassé tout sentiments infondés et inutiles vous pourrez entrer en douceur dans votre travail de deuil. Celui-ci est constitué de phases, même si rien n’est jamais vraiment stable, chacun vit cette épreuve à sa manière. Les cinq phases du deuil sont :
Négation/Colère/Négociation/ Dépression/Acceptation
Il existe beaucoup d’articles traitant de ces sujets et qui pourront, nous l’espérons, vous aider, nous en avons sélectionné quelques-un pour vous:
Un petit lien complémentaire pour vous aider à expliquer au mieux à vos enfants, nous savons que souvent, à votre propre peine, s’ajoute la leur et il est parfois compliqué de trouver les bons mots. Comment expliquer la mort d’un animal à ses enfants. Sachez que si vous êtes concernées par cette situation, nos pensées de réconfort, de soutien et de compassion vont vers vous. 